Pourquoi Tu Te Sens Toujours Surchargé(e) ? Les Vraies Raisons Derrière Ta Surcharge

Est-ce que l’histoire de Marie te parle ?

Marie se réveille déjà submergée. Avant même de poser un pied hors du lit, son esprit est envahi par tout ce qu’elle doit accomplir : répondre aux emails, préparer la réunion de demain, s’occuper des enfants, puis filer au bureau. Elle jette un œil à son agenda, et le sentiment de surcharge monte. La liste est interminable. Pourtant, comme chaque matin, elle se dit que cette fois-ci, elle réussira à tout gérer.

Mais à peine la journée commence, que tout dérape. Les interruptions s’enchaînent : des appels imprévus, des notifications qui ne cessent de vibrer, et des urgences qui s’accumulent. Chaque minute lui échappe, et elle perd peu à peu le contrôle.

À l’heure du déjeuner, elle se rend compte qu’elle n’a même pas mangé. Son esprit est saturé, mais impossible de ralentir. Elle est persuadée qu’il lui faut tout finir avant de s’accorder une pause, elle n’a pas le temps de se poser. La fatigue s’installe, mais Marie continue, en espérant trouver un moment pour souffler plus tard… si elle parvient à terminer.

Le soir, elle rentre chez elle épuisée, et la journée n’est pas encore terminée : il faut encore s’occuper des enfants. Sa to-do list, au lieu de se réduire, semble plus longue que jamais. Elle n’a pas pris un seul instant pour elle, pour se ressourcer. Sa journée a été dictée par des urgences, des demandes extérieures, et elle s’effondre, à bout de nerfs.

Et ce qui l’angoisse le plus ? Elle sait déjà que demain sera la même chose.

Et bien, est-ce possible pour Marie de se sortir de cette spirale ?

Peut-être que tu te reconnais dans l’histoire de Marie. Tu te demandes sûrement si c’est possible de sortir de ce cercle infernal, ou peut-être penses-tu, comme elle, qu’il n’y a rien à faire. Que c’est comme ça, que c’est juste “la vie” et qu’il faut s’y résigner.

La vérité, c’est que non, ça ne doit pas être comme ça. Ce n’est pas normal de vivre avec une telle surcharge mentale en permanence. Et contrairement à ce que tu pourrais penser, il existe des solutions concrètes pour reprendre le contrôle de ton temps et sortir de cette spirale.

Tu n’es pas condamné(e) à être esclave de ta to-do list et des urgences des autres. Marie, tout comme toi, a simplement besoin des bons systèmes pour s’organiser et arrêter de courir après chaque minute de la journée. Il ne s’agit pas de travailler plus, ni de tout accomplir en un jour, mais de travailler mieux et de définir ce qui compte vraiment.

Alors, que faire ? Cela commence par changer de perspective et prendre conscience que le chaos extérieur n’a pas à gouverner tes journées. Tu peux restructurer ton emploi du temps, mettre en place des systèmes d’intelligence pour mieux gérer ton temps, tes priorités et tes projets. Et surtout, tu peux apprendre à dire non aux distractions qui te volent ton énergie.

D’abord, il faut comprendre d’où vient le sentiment de surcharge.

Pourquoi te sens-tu constamment en mode course, comme si tu essayais de rattraper quelque chose qui te file entre les doigts ? C’est là que réside la clé pour changer. Ce sentiment de surcharge, ce n’est pas juste une question d’avoir trop de choses à faire. C’est souvent un mélange entre un manque de clarté, une mauvaise gestion des priorités, et une charge mentale non gérée.

Mais qu’est-ce que la charge mentale exactement ? C’est ce fardeau invisible que tu portes chaque jour, celui qui te pousse à toujours anticiper, à penser à des dizaines de choses en même temps : “Est-ce que j’ai répondu à cet email ?”, “Ne pas oublier de préparer la réunion de demain”, “Acheter du lait après le travail”, “Prendre rendez-vous chez le médecin pour les enfants…”. Ce sont toutes ces petites choses qui occupent ton esprit sans que tu en sois forcément conscient(e), et qui s’accumulent jusqu’à te submerger.

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La charge mentale n’est pas qu’une simple liste de tâches, c’est aussi cette pression constante de devoir penser à tout, de devoir être partout à la fois. Résultat ? Ton cerveau est en surcharge permanente, et tu te retrouves à réagir à tout ce qui se passe autour de toi plutôt qu’à agir en fonction de ce qui est vraiment important pour toi.

Pourquoi ce sentiment de course incessante ?

Parce que tu ne fais que gérer des urgences, sans prendre le temps de structurer ce qui compte réellement. Le manque de systèmes clairs et de priorités établies crée ce brouillard constant. Sans un plan défini, tout te semble urgent et important. Tu dis “oui” à tout sans filtre, par peur de manquer quelque chose, et tu te laisses entraîner dans une spirale où les autres dictent ton emploi du temps.

Si tu ne contrôles pas tes journées, elles te contrôlent.

Tu dois te dire : “Mais sérieusement, tu ne vis pas ma vie, c’est l’enfer !”

J’ai le boulot, les enfants, les courses, les rendez-vous, les emails qui s’accumulent… ça n’arrête jamais. Et je comprends parfaitement. C’est vrai, ton quotidien est un défi énorme, et personne ne dit le contraire. Et justement, c’est parce que ton défi est si grand, tu te dois d’avoir un système à la hauteur de ton défi sur lequel tu peux compter, un système qui te permet de reprendre le contrôle.

Le chaos ne disparaîtra jamais complètement. Il y aura toujours des imprévus, des urgences, des journées où tout semble s’écrouler. Mais avec le bon système en place, tu pourras minimiser l’impact de ces imprévus, organiser ton emploi du temps de manière à avoir une meilleure vue d’ensemble, et enfin te sentir en maîtrise de ta vie.

Un système fiable, c’est ce qui te permettra de ne plus être en mode survie permanente. Ça te donne la clarté pour faire les bons choix, et surtout, ça te permet de prendre soin de toi avant de t’épuiser. Parce que soyons honnêtes, si tu ne fais que courir après des tâches, en négligeant ta santé mentale et physique, tu ne pourras pas tenir longtemps à ce rythme.

Donc, pour arrêter le sentiment de surcharge, il faut faire deux choses : changer la vitesse et réduire la charge mentale. 

Mais comment on fait ça ?

1. Changer la vitesse

Tu ne peux pas toujours aller à 100 à l’heure sans t’épuiser. Ton cerveau, ton corps, ta motivation ont tous des limites. Changer la vitesse ne signifie pas tout ralentir, mais plutôt savoir quand accélérer et quand lever le pied. Il faut apprendre à gérer ton énergie, pas seulement ton temps. Cela signifie organiser ta journée en fonction de ton rythme naturel. Si tu sais que tu es plus productif(ve) le matin, utilise ce moment pour te concentrer sur les tâches les plus importantes, celles qui demandent une attention maximale. Terminer ces tâches en priorité te donnera un sentiment d’accomplissement, de quoi être fier(ère) de ta journée dès le départ.

Ensuite, prends des pauses régulières ! Oui, des vraies pauses. Beaucoup de gens se sentent coupables de s’arrêter, sous prétexte qu’ils sont débordés et “n’ont pas le temps”. Mais la vérité, c’est que sans pause, tu brûles ton énergie inutilement, tu commets plus d’erreurs, et tu n’as même plus le recul nécessaire pour évaluer ce qui est vraiment important. Tu crois que tu avances, mais en réalité, tu te tires une balle dans le pied. Une pause bien placée te permet de recharger tes batteries et de revenir plus concentré(e). Et surtout, elle te donne l’impression de ralentir et de travailler à un rythme raisonnable.

Stratégie : Prends l’habitude de découper ta journée en blocs de travail concentré et de pauses. La méthode Pomodoro, par exemple, te permet de travailler par sessions de 25 minutes, suivies de 5 minutes de pause. Ce n’est pas la durée qui compte, mais la régularité de ces moments de récupération.

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L’histoire de mon ami Simon

Mon ami Simon travaillait sur un projet monumental avec deux autres associés. Ils étaient trois gars ultra motivés, déterminés à lancer un produit qui ferait un carton dès sa sortie, et pas n’importe lequel : le plus grand succès de leur industrie. La pression était énorme. Ils travaillaient des journées de 16 heures, sans s’arrêter, sans prendre de pauses (aujourd’hui, avec du recul, Simon reconnaît que c’était une erreur).

Un soir, vers 2h du matin, un problème surgit : la catastrophe. Ils paniquent, tournent le problème dans tous les sens, mais aucune solution ne semble évidente. Simon finit par dire aux autres : “Les gars, il est 4h du matin. On va dormir quelques heures et on reprend après.”

Et vous savez quoi ? À leur réveil, ils se regardent et se demandent où était le gros problème. Avec le repos, ils se rendent compte que ce n’était rien. Il suffisait d’envoyer un email pour rectifier la situation. Morale de l’histoire : aller vite, ce n’est pas travailler tout le temps.

2. Réduire la charge mentale

Pour alléger ta charge mentale, il faut d’abord vider ta tête de toutes les tâches. Ce qui te pèse le plus, c’est de tout garder en mémoire. Le but que garder en tête le système, les pointeurs où trouver l’information. Ton cerveau n’est pas conçu pour jongler avec des centaines de tâches à la fois.

Externalise tout cela dans un système fiable : un agenda, une application de gestion des tâches ou même un carnet. Moi, j’appelle ça un système de gestion du savoir. Ce qui compte, c’est de libérer ton esprit pour te concentrer sur ce qui est vraiment prioritaire.

Ensuite, apprends à réduire tes engagements. Dire “non” est une compétence essentielle. Tu n’es pas obligé(e) de dire oui à toutes les demandes qui arrivent. Si tu dis oui à tout, tu dilues ton énergie sur des choses qui ne te rapprochent pas de tes objectifs.

Pour pouvoir dire non, il te faut deux choses : des objectifs clairs et un agenda bien organisé. Sinon, tu finis par accepter des tâches non prioritaires sans même savoir si tu as réellement le temps de les faire.

Stratégie : À chaque début de semaine, fais le point sur tes objectifs et sur ce qui doit vraiment avancer. Si une tâche ne sert pas tes objectifs à long terme, demande-toi si elle mérite vraiment d’être faite. Et chaque fois qu’une nouvelle tâche te vient en tête, sors-la de ton esprit immédiatement et place-la dans ton système de gestion du savoir. Crée une tâche dans ton agenda ou classe l’information là où elle doit être. Ne laisse rien traîner dans ta tête.

Conclusion 

Plus ton défi en gestion est grand, plus tu dois avoir un système solide pour te sortir de cette loupe infernale. Ne crois pas que tu peux tout faire simplement en essayant de te souvenir de chaque tâche ou en fonctionnant au jour le jour. Si tu veux vraiment reprendre le contrôle, il te faut une méthode éprouvée pour clarifier tes priorités, organiser ton temps et réduire la surcharge mentale. Ce n’est pas une question de travailler plus dur, mais de travailler avec les bons outils, avec ton système d’intelligence adapté.

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Une réponse

  1. Merci pour cet article concret avec de nombreux exemples, c’est plus parlant.
    Il donne des bonnes pistes pour “s’alléger” 🙂

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