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Un concept innovant pour améliorer les relations interpersonnelles dans l’entreprise

relations interpersonnelles en entreprise

Saviez-vous que la longueur d’onde, qui est une notion physique, peut également être appliquée à la gestion des relations interpersonnelles au travail ? Être sur la même « longueur d’onde » signifie que deux personnes partagent les mêmes objectifs, intérêts et passions et travaillent à la même vitesse : c’est dire si cela est important ! Dans cet article, nous allons explorer plus en détail cette notion et voir comment elle peut être utilisée pour améliorer les relations interpersonnelles au sein de l’entreprise et augmenter la productivité. Comprendre la notion de longueur d’onde Nous connaissons tous l’expression « être sur la même longueur d’onde ». Même si l’onde est avant tout une notion scientifique, sa perception peut être appliquée à ce qui se passe entre deux personnes. Pour mieux comprendre ce concept, il est important de connaître les deux paramètres qui le composent : la vitesse et la fréquence. En physique, la longueur d’onde est définie comme la distance parcourue par une onde au cours d’un cycle complet. Elle est représentée par la lettre grecque lambda (λ) et est déterminée par la vitesse (v) et la fréquence (f) de l’onde. Plus précisément, la formule de base de la longueur d’onde est λ = v/f. La vitesse fait référence à la rapidité avec laquelle on agit et la fréquence des objectifs, des passions, des intérêts et des éléments importants qui nous caractérisent. Dans le contexte du travail, cela signifie que deux personnes doivent être en mesure de travailler à la même vitesse et avec des intérêts communs pour être sur la même longueur d’onde. Parfois, pour être en phase avec les autres, il suffit de jouer avec la vitesse et/ou de clarifier les éléments importants que l’on partage. Qu’est-ce qui se joue à travers le concept de longueur d’onde entre deux personnes ? Ce concept peut aider à apprendre à mieux interpréter les signaux non verbaux tels que la posture, les expressions faciales et les mouvements des mains pour saisir les pensées et les sentiments des autres. Lorsque vous détectez quelque chose d’atypique chez une personne, posez-vous ces questions : est-ce que c’est la vitesse qui est en jeu ? Parfois, on dit les bonnes choses, mais pas à la bonne vitesse. La personne qui est devant nous n’est peut-être pas prête à recevoir votre message car celui-ci est trop rapide… Peut-être est-ce la fréquence qui est en jeu ? Dans ce cas, la personne qui est devant vous n’est pas du tout intéressée à développer un processus qu’elle déteste. Il faut alors lui parler de ses frustrations et des problèmes pour déterminer comment le processus que vous devez mettre en place pourra l’aider. Voyons quelques exemples concrets : Travailler avec un nouveau collègue Vous êtes responsable de former un collaborateur sur un projet et vous avez remarqué que ses méthodes de travail sont différentes des vôtres. Vous avez tous les deux les mêmes objectifs, mais vous travaillez à des vitesses différentes. Pour être sur la même longueur d’onde, vous pouvez ajuster votre vitesse ou travailler avec lui pour développer une approche commune. Gérer les attentes de l’équipe Vous êtes responsable d’un projet et vous avez planifié une réunion d’équipe pour discuter de l’état d’avancement. À la fin de la réunion, vous êtes prêt à clore le sujet, mais vous vous rendez compte que certains membres de l’équipe ont encore des questions. Pour être sur la même longueur d’onde, vous devez prendre en compte les préoccupations de chacun et travailler à définir une solution qui convient à tous. Communiquer efficacement avec un collègue Vous travaillez avec un collègue qui a une approche très différente de la vôtre pour atteindre les mêmes objectifs. Vous avez des difficultés à communiquer efficacement et à travailler ensemble. Pour être sur la même « longueur d’onde », vous devez apprendre à intégrer les motivations de votre collègue et à travailler avec lui pour trouver des solutions qui conviennent à tous. L’entretien d’embauche Les employeurs peuvent utiliser ce concept lorsqu’ils mènent des entretiens d’embauche pour évaluer la compatibilité d’un candidat avec l’entreprise. Ils peuvent être attentifs aux signaux non verbaux du candidat pour connaître son niveau de confiance, son attitude et son enthousiasme. Prenez le temps de valider la fréquence afin de savoir si les intérêts de la personne sont alignés avec le poste et la culture de l’entreprise. S’il y a un trop gros décalage, il sera très difficile pour la personne d’être sur la même longueur d’onde que les autres et cela risque d’entraîner des conflits. Formation des employés Les gestionnaires peuvent utiliser ce concept pour aider les employés à développer leurs compétences en communication interpersonnelle. Ils peuvent organiser des séances de formation pour apprendre aux collaborateurs à reconnaître ce qui est véritablement en jeu pour prendre les meilleures décisions. La négociation En négociation, il est crucial de maîtriser les signaux non verbaux que vous émettez et que vous recevez de votre interlocuteur. Grâce au concept de la longueur d’onde, vous pouvez ajuster deux paramètres essentiels pour parvenir à une situation « gagnant-gagnant » : la vitesse et la fréquence. La vitesse de votre discours joue un rôle important dans la perception que votre interlocuteur a de vous. En parlant trop rapidement, vous risquez de donner l’impression d’être nerveux ou agité, tandis qu’en parlant trop lentement, vous pouvez sembler hésitant ou peu sûr de vous. De même, si vous cherchez à ce que votre client achète plus rapidement qu’il ne le souhaite, vous pouvez lui donner une pénible impression de pression. Il est également important d’être sensible à la fréquence, c’est-à-dire à la manière dont votre interlocuteur communique. Essayez de comprendre ses centres d’intérêt, ses frustrations et ses problèmes, ainsi que le vocabulaire qu’il utilise. Cela vous aidera à ajuster votre discours pour être sur une fréquence qui résonne avec votre interlocuteur. En ajustant ces deux paramètres, vous pouvez améliorer vos compétences en négociation et parvenir à une situation « gagnant-gagnant ». Vous pourrez ainsi mieux comprendre les intentions et les objectifs de la personne qui est en face de vous, tout en

Communiquer efficacement avec mes employés

communiquer efficacement avec son équipe

Une communication efficace avec vos employés est essentielle pour établir des relations de confiance, renforcer la collaboration et maximiser la productivité. Dans cet article, je partage quelques conseils pour développer une communication plus efficace avec votre équipe, dès aujourd’hui ! Sommaire Soyez clair et concis Écoutez activement Soyez cohérent Encouragez la communication bidirectionnelle Faites des feedbacks réguliers Soyez clair et concis Il est important d’être précis dans notre communication, car cela permet d’être efficace et d’éviter les malentendus. Des messages clairs et concis sont plus faciles à comprendre et à retenir, ce qui peut aider à améliorer la productivité et à éviter les erreurs. De plus, la clarté et la concision montrent que vous respectez le temps et l’attention de vos collègues, ce qui contribue la mise en place de relations professionnelles positives. Voici quelques astuces pour améliorer votre communication : Définissez l’objectif de votre message : avant de commencer à communiquer avec votre équipe, définissez clairement l’objectif de votre message. De quoi voulez-vous parler ? Quel est le but de la communication ? Avoir une idée claire de ce que vous voulez transmettre vous aidera à rester concentré et à partager un message efficace. Utilisez un langage simple et direct : évitez les mots compliqués et le jargon technique qui pourraient prêter à confusion. Utilisez plutôt un langage facile à comprendre pour transmettre votre message. Évitez également les phrases longues et complexes qui peuvent rendre votre message peu convaincant. Structurez votre communication : commencez par une introduction courte et claire qui présente l’objectif de votre communication, puis développez votre message en présentant les faits ou les informations pertinentes. Terminez par une conclusion qui résume les points clés de votre message. Utilisez des exemples concrets : utilisez des exemples tirés du réel pour illustrer vos propos. Les exemples permettent à votre équipe de mieux comprendre votre message et de l’appliquer à leur propre travail. Posez des questions pour vous assurer de la compréhension : questionnez votre équipe pour vous assurer qu’elle a bien compris le message. Cela vous aidera également à identifier les zones qui pourraient nécessiter une clarification supplémentaire. Écoutez activement Il est nécessaire de prêter attention aux paroles de vos employés pour comprendre leurs besoins et préoccupations. Montrez que vous êtes ouvert aux idées et aux commentaires, et soyez prêt à apporter des modifications en conséquence. Quelques conseils pour mieux écouter vos collaborateurs : Éliminez les distractions : évitez de passer ou de prendre des appels téléphoniques pendant l’échange et n’allez pas regarder vos courriels ou messages. Éteignez votre téléphone portable et concentrez-vous sur votre interlocuteur. Montrez de l’empathie : écoutez attentivement ce que dit votre interlocuteur. Essayez de comprendre ses émotions et ses préoccupations. Posez des questions : demandez des éclaircissements si vous ne comprenez pas quelque chose. Cela montre que vous êtes attentif et que vous vous intéressez vraiment à ce que dit votre interlocuteur. Reformulez ou résumez : reformulez ou résumez ce que dit votre interlocuteur pour vous assurer que vous avez bien compris. C’est une preuve que vous avez bien écouté et que vous vous préoccupez de comprendre ce qu’il essaie de dire. Évitez les interruptions : laissez toujours votre interlocuteur terminer ses phrases avant de réagir. Cela montre que vous respectez son point de vue. Je vous invite d’ailleurs à effectuer un petit exercice : laissez une plus longue pause entre la fin d’un discours et le début de votre réponse. Voyez si c’est possible d’allonger cette durée sans perdre l’interactivité. En écoutant activement votre équipe, vous pourrez mieux comprendre les besoins et les interrogations de chaque membre, vous renforcerez la relation de confiance et vous améliorerez la collaboration globale. La satisfaction au travail sera également augmentée. Soyez cohérent Soyez cohérent dans votre communication et respectez vos engagements. Évitez de donner des instructions contradictoires ou de changer les règles du jeu en cours de route ! Faites également attention à ce point : j’ai remarqué qu’en tant que leader, on parle parfois avec nos équipes de ce qu’il faut faire avec une grande conviction. Mais quelques jours ou semaines après, notre pensée a évolué et on a oublié d’en informer l’équipe. On a fait alors ce que j’appelle un saut quantique. Voyons ce que c’est précisément. Un saut quantique est lorsque l’on avance dans l’évolution de notre pensée, sans inclure les membres de notre équipe. On passe alors d’un état à l’autre, et notre équipe n’est pas au courant. Par conséquent, à la prochaine rencontre, on va demander quelque chose qui ne fait plus de sens pour les collaborateurs qui, eux, sont restés dans l’état initial. Il est donc important de reconnaître lorsqu’on manque de cohérence et que l’on a fait un « saut quantique » devant notre équipe. Dès qu’on l’identifie, il faut revenir à l’état initial et expliquer le « pourquoi » du changement d’état et seulement ensuite, faire nos demandes. Attention à ne pas faire trop souvent de sauts quantiques, car cela augmente la difficulté pour votre équipe de vous suivre et de prendre des initiatives. Plus de renseignements à propos des sauts quantiques : une histoire par saut quantique. Utilisez différents canaux de communication Utilisez différents moyens de communication tels que les réunions, les rendez-vous en face à face, les appels téléphoniques, les courriels et les applications de messagerie instantanée pour communiquer avec vos employés. Mais certains canaux peuvent être plus efficaces pour des situations spécifiques. Message urgent : Les messages urgents doivent être transmis rapidement et directement. Les appels téléphoniques, les messages instantanés ou les messages texte sont les canaux les plus adaptés. Message complexe : Si le message est complexe, une communication en face à face ou une réunion avec le groupe est préférable. Cela permet de clarifier les points importants et d’obtenir des commentaires immédiats. Information générale : Les informations générales peuvent être transmises par courrier électronique, notes de service, bulletins d’information ou même des tableaux d’affichage. Feedback : il est plus efficace de communiquer un feedback lorsqu’on est en face à face ou lors d’un échange téléphonique, afin de faciliter

Comment préparer efficacement une présentation importante au travail ?

Faire une présentation au travail

La préparation d’une présentation importante au travail peut être une grande source de stress, mais rassurez-vous, il y a des étapes clés à suivre pour la rendre plus facile ! Tout d’abord, il est important de déterminer l’objectif et savoir qui assistera à votre présentation, afin de préciser le sens de votre message et de choisir les informations pertinentes. Ensuite, vous devez organiser les informations de manière logique et créer une structure claire pour votre présentation, avec une introduction, un corps et une conclusion. Il est également essentiel de laisser du temps pour les questions et les interactions avec votre public. Enfin, pour soutenir vos propos, vous pouvez utiliser des visuels comme des graphiques ou des images, en utilisant des outils tels que Canva, Google Slides ou Piktochart. Suivre ces étapes vous aidera à vous sentir confiant et vous serez bien préparé lorsque vous prendrez la parole devant l’auditoire ! Sommaire Déterminez clairement l’objectif de votre présentation et sachez qui va y assister Rassemblez des informations pertinentes et organisez-les de manière logique. Créez une structure claire pour votre présentation, avec une introduction, un corps et une conclusion. Utilisez des visuels (comme des graphiques ou des images) pour soutenir vos propos Répétez votre présentation plusieurs fois pour la pratiquer et ajustez votre ton et votre langage corporel. Bonus liste d’outils pour s’enregistrer Anticipez les questions possibles de l’audience et préparez des réponses claires. Soyez confiant et détendu lors de la présentation 1. Déterminez clairement l’objectif de votre présentation et sachez qui va y assister Quel est le but de votre présentation? S’agit-il d’informer, de persuader, de former ou de divertir? Quel est le message clé que vous souhaitez communiquer à votre public ? D’ailleurs, qui sont les personnes qui vont assister à votre présentation ? Pouvez-vous les définir de manière simple ? Quel est le niveau de connaissance de votre auditoire ? Connaissez-vous les attentes et les centres d’intérêts de votre public ? (fréquence) Quels sont les problèmes ou les questions que les participants pourraient avoir, et comment votre présentation peut-elle les aider à les résoudre ? Quel est le contexte général de votre présentation ? S’agit-il d’une réunion d’affaires, d’un colloque, d’un événement social ou d’une formation professionnelle? Répondre à ces questions vous aidera à clarifier votre objectif et à adapter votre présentation en fonction de votre public. Cela vous permettra également de choisir les informations et les visuels les plus pertinents : vous communiquerez ainsi votre message de manière plus efficace. 2. Rassemblez des informations pertinentes et organisez-les de manière logique Lorsque vous préparez une présentation importante, il est essentiel de rassembler des renseignements de qualité et de les organiser de manière logique afin de captiver plus facilement votre public et transmettre clairement votre message. Pour y parvenir, commencez par identifier les sources d’information fiables et crédibles telles que des livres, des articles, des sites web, des rapports ou des interviews, puis sélectionnez les informations qui sont directement liées à votre objectif et qui répondent aux besoins de votre public. Ensuite, répartissez les informations en catégories logiques ou en thèmes, en utilisant des diagrammes ou des « mind maps » pour visualiser les relations entre les idées. Hiérarchisez les informations en fonction de leur importance et de leur pertinence, en mettant en évidence les points clés que vous souhaitez souligner dans votre présentation. Écrivez une première ébauche de votre présentation en utilisant une structure simple et cohérente, en vous assurant de couvrir tous les points importants. Enfin, évaluez votre présentation en révisant et en éditant votre contenu pour vous assurer qu’il est clair et facile à comprendre. En suivant ces étapes, vous pourrez préparer de la meilleure des manières, une présentation qui informe, persuade, forme ou divertit votre public selon votre objectif : vous vous sentirez alors confiant et bien préparé lorsque vous prendrez la parole devant votre public ! 3. Créez une structure claire pour votre présentation, avec une introduction, un corps et une conclusion. 3.1 Introduction Commencez par une introduction étonnante et fascinante, afin de capter l’attention de votre public. Présentez-vous, annoncez le sujet de votre présentation et précisez les enjeux de la présentation. Il est également important de donner un aperçu de votre plan : cela permettra à votre public de suivre le déroulement et de se préparer pour la suite. 3.2 Corps Le corps de votre présentation doit couvrir les points clés de votre sujet, organisés de manière logique et cohérente. Utilisez des transitions claires entre chaque point pour maintenir la fluidité de votre présentation. Assurez-vous d’utiliser des exemples concrets, des données ou des statistiques pour étayer vos arguments. 3.3 Conclusion Terminez votre présentation par une conclusion claire et qui résume tous les points clés. Faites un résumé de votre message principal et insistez sur les points les plus importants de votre présentation. Utilisez des phrases fortes pour inspirer et motiver votre public. Terminez par une invitation à poser des questions ou à poursuivre la discussion. 3.4 Questions et interactions Laisser du temps pour les questions-réponses et les interactions est important pour favoriser la compréhension, le dialogue et l’engagement des collègues ou des clients. Cela peut également aider à résoudre des problèmes potentiels ou à obtenir des commentaires constructifs pour améliorer votre présentation ou votre projet. Vous ne savez pas comment vous lancer demander une structure de présentation à ChatGPT. Comment utiliser ChatGPT en entreprise ? 4. Utilisez des visuels (comme des graphiques ou des images) pour soutenir vos propos Canva : Canva est un outil de conception graphique gratuit (dans sa version de base) et facile à utiliser pour créer des présentations, des affiches, des infographies et bien plus encore. Il offre une large gamme de modèles prêts à l’emploi et d’éléments de design pour vous aider à créer rapidement des visuels professionnels. Google Slides : Google Slides est un outil de présentation en ligne gratuit, qui permet de créer, de modifier et de partager des présentations avec d’autres utilisateurs. Il dispose d’une grande bibliothèque de thèmes, de modèles et d’images pour vous aider à créer des présentations

5 conseils pour stopper les conflits au sein de l’équipe

conflits au travail

Dans cet article, nous allons partager 5 conseils pour vous aider, en tant que leader, à désamorcer voire stopper les conflits au sein de votre équipe. Grâce à ces informations, vous pourrez également aider votre équipe pendant les moments de tension afin de les transformer en opportunités. En outre, vous apprendrez quoi faire après un conflit : s’il est certain qu’il vaut mieux éviter les affrontements, il est pratiquement inévitable que ceux-ci apparaissent à un moment ou un autre, tout simplement parce que les collaborateurs peuvent développer des points de vue potentiellement différents sur les enjeux et les situations rencontrées. S’il n’y a aucune tension, c’est probablement que votre équipe est résignée et ce n’est pas forcément bon signe pour la productivité ! Ne soyez donc pas dans la crainte qu’il existe des antagonismes entre les personnes, car il est normal que des conflits surgissent au sein d’un groupe : il suffit simplement d’apprendre à bien les gérer  ! Sommaire Encourager la communication ouverte et honnête. Favoriser la collaboration. Définir des rôles et des responsabilités clairs. Gérer les divergences. Traiter les conflits rapidement. Bonus : apprendre à s’excuser 1. Encourager la communication ouverte et honnête Les conflits peuvent souvent être évités ou résolus en encourageant les membres de l’équipe à communiquer ouvertement et avec honnêteté. Les collaborateurs doivent être encouragés à exprimer leurs préoccupations de manière constructive, à écouter attentivement les autres et à essayer de trouver des solutions qui répondent aux besoins de tous. Mon astuce personnelle est de nommer différemment les préoccupations : je les appelle des trésors, un terme que j’ai appris pendant mes formations en LEAN manufacturing. Par exemple, les « irritants » sont des trésors, car ils pointent souvent les éléments qui empêchent le bon fonctionnement et le travail efficace dans les équipes. Par conséquent, les irritants et les partages qu’ils font sont toujours très instructifs pour améliorer les processus, les méthodes de travail ou la communication… Les problèmes soulevés sont donc des trésors pour améliorer tous les éléments qui composent le travail en équipe. Donc, au lieu de dire, je suis inquiet pour ou je ne pense pas que ça va fonctionner…, il faut mieux répondre : j’ai un trésor à partager ! Ce mot signale automatiquement qu’un environnement de « safe space » se met en place, car il est possible que la personne partage un élément de vulnérabilité : on va alors passer à un mode d’écoute active qui prend vraiment en compte les paroles de l’autre. 2. Favoriser la collaboration La collaboration peut aider à prévenir les conflits, car elle implique que tous les membres de l’équipe travaillent ensemble vers un objectif commun. Cela peut aider à minimiser les différences et les désaccords parce que les collaborateurs ont une compréhension plus claire de ce que les autres essaient d’accomplir. En fait, nous sommes UNE entreprise, UNE seule équipe et parfois, on oublie qu’on travaille tous pour le même but. Les collaborateurs ont des mandats différents, mais ceux-ci existent pour nous aider à attendre les mêmes objectifs, ceux de l’entreprise. Nos défis locaux, dans chacune de nos équipes, ne sont que les parties d’un tout commun : stimuler la collaboration consiste en fait à casser le concept de NOUS vs EUX. Pour plus de conseils pour stimuler la collaboration, je vous invite à lire cet article : De bons moyens pour stimuler la collaboration 3. Définir des rôles et des responsabilités clairs Les conflits peuvent souvent survenir lorsque les membres de l’équipe ne sont pas sûrs de leurs rôles ou de leurs responsabilités. En définissant clairement les missions de chaque membre de l’équipe, vous pouvez minimiser les conflits et éviter que les collaborateurs se sentent frustrés ou sous-utilisés. Pour bien définir les rôles et les responsabilités, il ne s’agit pas de rester simplement dans une simple description du poste : il faut mettre en place un certain nombre d’éléments incontournables, comme par exemple définir la méthode pour travailler efficacement ensemble ou encore, mettre en place un système de réunion pour que chacun puisse s’exprimer librement. Voici les éléments qui nous semblent indispensables : Description de poste WBS – work break down structure Mettre en place les processus importants de votre équipe et comment ils s’interconnectent avec ceux des autres départements Former les équipes pour identifier pour chaque projet, les personnes impliquées en utilisant le tableau de la méthode RACI ( responsable/réaliser , approuver, consulter , et informer) Mettre en place vos systèmes d’intelligence, pour aider à votre équipe à prendre les bonnes décisions en temps réel D’ailleurs, le chapitre 1 de mon livre « Le manager est un voyageur du temps. » peut vous aider à mettre tous ces éléments en place. 4. Gérer les divergences Les conflits découlent souvent d’une divergence de point de vue. Il est important de reconnaître que des opinions différentes sont normales et même souhaitables dans une équipe, car cela peut aider à stimuler la créativité et l’innovation. Mais il est également utile de savoir gérer les divergences de manière constructive, en encourageant la discussion et en essayant de trouver des solutions qui répondent aux besoins de tous. Quand votre équipe n’arrive plus à communiquer et que les parties sont retranchées dans leur position, il y a une astuce qui fonctionne à tous les coups : puisque les solutions se trouvent souvent entre les différents points de vue, il faut commencer par trouver des éléments communs qui permettent de faire avancer la conversation. Pour savoir en plus, vous pouvez consulter l’article complet sur le sujet : Comment gérer un inconfort dans une réunion ? J’ai même mis au point un geste pour aider dans ces situations, à reprendre le contrôle. Tout le monde, d’ailleurs, dans la réunion, peut le faire : il s’agit de signaler physiquement qu’on vient d’atteindre une limite dans la discussion. Cette limite peut venir d’une sensation d’inconfort, d’avoir l’impression de tourner en rond, de ne plus avancer ou d’avoir passé trop de temps sur un sujet… Testez-le, ça fonctionne immédiatement ! Si vous prévoyez qu’une conversation sera

Comment développer des compétences solides en leadership ?

développer compétences en leadership

Dans cet article, nous allons voir 7 façons de développer vos compétences en leadership ainsi que profiter d’une grille d’évaluation simple qui va vous aider à devenir un meilleur manager. Ce sont des méthodes simples, applicables immédiatement, des méthodes qui en investissant seulement 10min par jour pourraient faire une vraie différence sur le long terme. ` Car vous le savez, la clé c’est de jouer avec le temps : et pour passer d’un état à un autre, il est important d’investir continuellement dans le développement de son savoir-faire ! Sommaire Étudier les leaders célèbres Développez votre intelligence émotionnelle Devenez un excellent communicateur Augmentez votre capacité à prendre des décisions Soyez flexible Encouragez la croissance et le développement des autres Évaluez constamment vos compétences en leadership Grille d’évaluation de son leadership 1. Étudiez les leaders célèbres Apprenez de ceux qui ont réussi et prenez le temps de lire les livres suivants : « Atomic habits » par James Clear “The Lean Startup” d’Eric Ries “Good to Great” de Jim Collins “Start with Why” de Simon Sinek “La puissance de la vulnérabilité” de Brené Brown “L’intelligence émotionnelle” de Daniel Goleman « Conscious business » par Fred Kofman “Crucial conversation” par Kerry Patterson “Le 7 Habitudes des gens très efficaces” de Stephen Covey « Winners Dream » par Bill McDernott , Joanne Gordon “Nine lies about work” par Marcus Buckingham, Ashaley Goodall “Creativity inc” par Ed Catmull and Amy Wallace Pour trouver le temps d’intégrer ce qu’ils contiennent, je vous conseille de les écouter en audio (podcast), lorsque vous allez marcher pour prendre l’air ou pendant une pause durant votre journée de travail. Et vous, vous pouvez également le faire pendant que vous cuisinez : l’idée est de combiner l’écoute avec une tâche facile, qui ne demande pas de faire des efforts intellectuels. 2. Développez votre intelligence émotionnelle La capacité à comprendre et à gérer ses propres émotions, ainsi que celles des autres, est un élément clé du leadership. Le développement de l’intelligence émotionnelle au travail peut aider à améliorer la communication, les relations interpersonnelles, la prise de décision et la résolution de problèmes… Quelques astuces pour la développer : Prenez conscience de vos émotions : le premier pas pour développer son intelligence émotionnelle est de prendre conscience de ses émotions. Le meilleur moyen pour identifier que l’émotion présente ne vous servira pas et pourrait même vous nuire pendant une conversation, est de reconnaître quand son propre pouls monte au-delà de 100 pulsations par minute. Dès que c’est le cas, calmez-vous rapidement. Prenez une grande respiration, et faites autre chose. Je conseille fortement de ne pas réagir trop rapidement lorsque votre pouls est au-delà des 100 pulsations par minute. Pratiquez l’empathie : l’empathie est la capacité de comprendre les émotions et les perspectives des autres. Certains pensent que c’est du BS (« bullshit l’empathie »), surtout en entreprise. Si c’est le cas, soyez sceptique et testez : vous verrez que lorsque votre interlocuteur se sent compris, il est plus facile de négocier par la suite. Gérez votre stress : la gestion du stress est une autre compétence importante pour le développement de l’intelligence émotionnelle. Le stress diminue l’énergie et peut vous faire basculer dans ce que j’appelle le mode « hypersensible ». On perd alors notre capacité à écouter. Apprenez à identifier les situations qui vous stressent et à utiliser des techniques de gestion des émotions pour vous aider à rester calme et concentré. Par conséquent, savoir prendre des pauses régulièrement fait partie des tâches d’un leader pour développer son intelligence émotionnelle. Pratiquez la résolution de conflits : savoir bien gérer un conflit ou une dispute est une compétence importante en matière d’intelligence émotionnelle. On commence par développer de l’empathie, on comprend les besoins, on écoute et ensuite, on peut véritablement passer à l’action pour trouver une solution. Une excellente méthode à apprendre est la CNV (communication non violente), pour régler les conflits. Par ailleurs, je vous conseille de lire : « crucial conversation » (voir la liste plus haut) 3. Devenez un excellent communicateur La communication efficace est une compétence importante pour un leader, car elle permet de transmettre correctement des idées et de résoudre les problèmes de manière efficace. Devenir un excellent communicant est un processus de développement en continu et qui nécessite de la pratique. Écoute active : la première étape pour devenir un excellent communicateur est d’être un auditeur attentif. Écouter activement signifie être présent dans la conversation, poser des questions pour clarifier et comprendre le points de vue des autres. À partir de là, il vous sera possible d’ajuster votre message en fonction de votre interlocuteur, de ses intérêts et de ses besoins et d’ajuster sa fréquence (voir plus bas, lien avec la longueur d’onde). Soyez précis : un excellent communicateur est capable de transmettre des idées et des informations de manière claire, concise et avec précision. Pour y arriver, il est important de bien comprendre le niveau de détails qui est nécessaire à votre interlocuteur. Évitez le jargon trop technique pour parler ! Développez la qualité de votre communication : mon astuce pour apprendre à développer la qualité de sa communication est de communiquer en ayant toujours en tête les éléments de la longueur d’onde – Fréquence et vitesse. Est-ce que le sujet dont je parle est intéressant et au bon niveau de détail pour mon interlocuteur ? Est-ce que je vais à la bonne vitesse pour transmettre mon message ? Si je parle trop rapidement, je vais « étourdir » la personne, et si je suis trop lent, je vais l’ennuyer. Soyez respectueux : la communication respectueuse est un élément clé de la réussite en tant que communicant. Évitez les critiques ou les jugements, et utilisez des mots qui reflètent votre respect pour les autres. Honnêtement, je peux vous dire que ce n’est pas donné à tous de prendre en considération l’autre dans sa communication : c’est une vraie compétences à développer au quotidien ! Utilisez les bonnes formes de la communication : comprendre les différents styles de communication et savoir comment les utiliser est essentiel pour

Comment aligner les objectifs de mon équipe avec ceux de l’entreprise ?

Aligné objectifs avec l'entreprise

Bienvenue dans cet article qui va vous aider à résoudre un défi commun pour de nombreux responsables ou managers : comment aligner les objectifs de leur équipe avec ceux de l’entreprise ? Car mettre en parallèle les buts poursuivis par les collaborateurs avec ceux de l’entreprise est une étape importante, voire incontournable, pour assurer une collaboration efficace et une contribution significative à la réussite de la société. Dans cet article, nous allons explorer les étapes clés qui permettent d’atteindre cet alignement et garantir que votre équipe travaille de manière cohérente et efficace pour le succès de l’entreprise. Sommaire Comprendre les objectifs de l’entreprise Communiquer les objectifs de l’entreprise Définir des objectifs spécifiques pour votre équipe Mettre en place des plans d’action Suivre et évaluer les progrès Réajuster si nécessaire 1. Comprendre les objectifs de l’entreprise Pour comprendre les buts de votre entreprise, vous devez vous pencher sur sa vision, sa mission et ses valeurs fondamentales. La vision définit ce que l’entreprise souhaite réaliser à long terme, tandis que la mission décrit son but fondamental. Les valeurs, quant à elles, définissent les principes et les croyances qui guident les actions de l’entreprise. Une autre façon de comprendre les objectifs de votre entreprise consiste à étudier son plan stratégique. Ce document décrit les initiatives clés de la société pour atteindre ses objectifs à court et à long terme. Vous pouvez également consulter les rapports annuels de l’entreprise pour en apprendre davantage sur ses résultats et ses priorités. Ensuite, il est possible que la société crée annuellement une liste d’objectifs généraux qu’elle sera susceptible de modifier d’année en année, ce qui aura pour effet de définir les buts à atteindre pour chaque secteur de l’organisation : ainsi, le CEO aura des objectifs qui influenceront ceux du directeur des finances, du marketing, de la production, des ventes … Il arrive, parfois, que vous intégriez une entreprise où la vision, la mission, les valeurs, le plan stratégique et les rapports annuels soient inexistants. Mais la bonne nouvelle est qu’il est possible de travailler pour un groupe sans que ces éléments soient précisés ! L’astuce est de créer soi-même la vision, la mission, les valeurs et le plan stratégique… Pour vous aider, voici un article qui va répondre à vos principales questions : créer la vision et la mission de votre département. Dans tous les cas, il est important de communiquer avec l’ensemble des secteurs de l’entreprise, notamment les membres de la direction et les responsables des autres équipes : ils pourront vous donner un aperçu des objectifs spécifiques de l’entreprise et de la manière dont votre équipe peut y contribuer. 2. Communiquer les objectifs de l’entreprise Une fois que vous avez intégré les buts poursuivis par l’entreprise, vous devez communiquer clairement ces objectifs  à votre équipe. Assurez-vous que chaque membre comprend parfaitement ce qu’attend l’entreprise. Simplifiez et clarifiez les objectifs : prenez le temps d’intégrer en profondeur les objectifs de l’entreprise et simplifiez-les pour qu’ils soient compréhensibles pour l’ensemble de votre équipe. Expliquez les raisons qui se trouvent derrière les objectifs : aidez votre équipe à comprendre l’importance et les avantages d’atteindre les objectifs de l’entreprise. Donnez des renseignements complémentaires sur les marchés, sur les besoins des clients et les défis actuels de l’industrie. Parfois, les objectifs de l’entreprise sont loin de la réalité de votre équipe et il faut expliquer en quoi les activités que l’on réalise au quotidien aident la société à atteindre ses objectifs. Une belle action à mener est de demander à l’équipe comment eux font le lien entre les objectifs de l’entreprise et leurs actions. 3. Définir des objectifs spécifiques pour votre équipe Une fois que votre équipe comprend parfaitement les objectifs de l’entreprise, vous devez définir des buts spécifiques à atteindre pour assurer le succès de la société.  Assurez-vous que ces objectifs sont clairs, mesurables, réalisables, pertinents et temporels. En bref, qu’ils soient « SMART » ! Assurez-vous que les objectifs sont mesurables et atteignables : définissez des objectifs spécifiques, mesurables et réalisables pour que votre équipe sache exactement ce qu’elle doit faire pour contribuer à l’atteinte des buts de l’entreprise. Personnellement, j’adore utiliser la méthode SMART+. Pour en savoir plus, j’ai rédigé un article qui en parle en détail : vous serez surement intéressé par la méthode SMART+, car elle ajoute l’impact du temps dans la création des objectifs. On se rappelle que la clé de la réussite c’est le temps, et dès qu’on ajoute la dimension temporelle dans son action et sa réflexion, on trouve de nouvelles solutions. Impliquez votre équipe dans la définition des objectifs : cela peut les aider à se sentir plus investis dans les objectifs de l’entreprise et à mieux comprendre comment leur travail individuel contribue au succès de l’entreprise. Personnellement, j’adore faire des sessions de rétroaction au moins 1 fois par année. Cette session m’aide à identifier ce que l’équipe aimerait accomplir l’an prochain pour s’améliorer. Voici quelques questions utiles pendant la rétroaction : Qu’est-ce que vous aimez le plus dans notre structure ? Que pensez-vous de nos processus ? Qu’aimeriez-vous conserver l’an prochain ? Que devrait-on faire pour améliorer notre département ? C’est une approche positive qui aide à se poser les bonnes questions et à commencer l’année avec optimisme ! 4. Mettre en place des plans d’action Établir des étapes spécifiques pour atteindre l’objectif : divisez l’objectif en étapes et établissez une liste détaillée de ce qui doit être fait pour atteindre chacune de ces étapes. Faites une division du travail. Selon la taille de l’objectif, il sera peut-être nécessaire de le scinder en programmes de travail, en produits de développement ou en listes de projets. Parfois, un objectif a besoin de l’addition de différents projets pour qu’il soit atteint. Établir une échéance : définissez une date limite pour chaque étape (projet, programme, produit) ainsi que pour l’objectif final. Cela vous aidera à vous assurer que vous êtes sur la bonne voie pour réussir vos plans. Si vous n’avez aucune idée, je vous conseille de mettre en place des rapports réguliers qui vont

Comment établir et maintenir une culture d’entreprise positive et dynamisante ?

Culture de positivité dans l'entreprise

Avant de penser à comment établir et maintenir une culture d’entreprise qualitative et impactante. Il est important de savoir pourquoi il est nécessaire de le faire ! Car si on parle énormément d’esprit d’entreprise, peu de gens savent précisément comment la définir et quel est son rôle exact dans le processus de réussite. Dans cet article, nous allons répondre en détail à ces questions et vous montrer pourquoi il est indispensable que la culture d’entreprise soit non seulement clairement définie pour l’ensemble des collaborateurs, mais surtout, quelles actions doivent être mises en place pour qu’elle soit vraiment partagée par tous. Sommaire 1) Pourquoi développer une culture d’entreprise forte est nécessaire pour réussir ? 2) Définition de la culture d’entreprise 3) Communiquer et valoriser clairement la culture d’entreprise 4) Les dirigeants doivent être des modèles ! 5) Encourager l’engagement des employés 6) Favoriser un environnement de travail positif et motivant 7) Évaluer et ajuster régulièrement la culture d’entreprise pour assurer la réussite ! 1) Pourquoi développer une culture d’entreprise forte est nécessaire pour réussir ? Tout d’abord, elle favorise la satisfaction des employés : les collaborateurs qui se sentent valorisés, respectés et impliqués dans leur travail sont plus satisfaits par leur poste et leur environnement de travail. Cela peut entraîner une réduction du turn-over et une augmentation de la loyauté envers l’entreprise. Ensuite vient la motivation : une culture d’entreprise positive peut entraîner les employés à donner le meilleur d’eux-mêmes et à travailler de manière plus efficace pour atteindre les objectifs de l’entreprise. La productivité : une culture d’entreprise valorisante pour chacun engendre une collaboration et une communication entre les employés beaucoup plus développées. En général, on constate alors une augmentation de la productivité et une réduction des erreurs et des retards. L’image de marque : une culture d’entreprise qui se fonde sur de belles valeurs peut renforcer la réputation de l’entreprise auprès des clients, des employés et des investisseurs potentiels. Attraction et rétention des talents : quand une entreprise montre un visage sympathique à travers son image de marque et son esprit, cela peut aider à attirer et à retenir les talents les plus performants. Les candidats ont plus de facilité pour se dire que cette société est un endroit où il fait bon travailler ! Voir l’article : comment arrive-t-on à être récompensé pour proposer le meilleur environnement de travail au Canada ? Sachez que le niveau de rétention de cette entreprise est positivement élevé ! En résumé, une culture d’entreprise bien pensée contribue à l’amélioration de la performance globale, en encourageant la satisfaction, la motivation et la productivité des employés. 2) Définition de la culture d’entreprise Il est nécessaire de préciser les valeurs, les croyances et les comportements qui définissent la culture de votre entreprise. Assurez-vous que ces éléments sont alignés avec les objectifs de la société et les attentes de vos employés. Je vous donne l’exemple d’une des entreprises où j’ai adoré travailler : BIC. Les Valeurs de BIC : l’Éthique, la Responsabilité, l’Esprit d’équipe, la Simplicité et l’Ingéniosité. Ces valeurs guident nos décisions et nos actions au quotidien. Partagez des valeurs simples, courtes, faciles à comprendre. J’aime bien aussi la phrase : « honorer le passé et inventer le futur ». Parce que la clé, c’est le temps, mais pas seulement. Dans cette phrase, on comprend que le passé a une vraie valeur. On est souvent prompt à dire que ce qui était auparavant n’est pas bon, mais en réalité, c’est grâce à ce passé que l’on peut remarquer des opportunités d’amélioration. Par conséquent, il est important de valoriser et respecter le passé ainsi que le travail des équipes : à partir de là, on pourra inventer le futur. C’est une approche très positive selon moi ! 3) Communiquer et valoriser clairement la culture d’entreprise Assurez-vous que tout le monde comprend les valeurs et les attentes intégrées dans la culture de l’entreprise. Cela peut être favorisé en créant des sessions de formation, en mettant en place de la communication interne régulière ou en partageant des manuels de politique d’entreprise et de procédures… N’hésitez pas à les écrire sur les murs de votre bureau et assurez-vous qu’elles soit partagées sur votre site web. Et pourquoi ne pas les mettre dans vos gabarits de travail, en bas de page de vos présentations Powerpoint ou Word ? Astuce : Si vous faites des évaluations de la performance, vous pouvez même les utiliser pour noter votre équipe ou donner un feedback bi-annuel de meilleure qualité sur les performances de l’équipe en fonction des valeurs. 4) Les dirigeants doivent être des modèles ! Les dirigeants de l’entreprise doivent être des modèles pour les employés, en adoptant et en incarnant les valeurs de la culture de l’entreprise. Et si un responsable se rend compte qu’un des collaborateurs n’incarne pas les valeurs de l’entreprise, il faut agir rapidement. On peut, par exemple, évoquer avec la personne un comportement inadéquat et prévenir que si cela se répète, un avertissement officiel sera lancé. Mais si on constate qu’il n’y a aucun changement au fil du temps, il faut alors laisser partir le collaborateur… Par conséquent, les dirigeants se doivent d’être courageux pour affronter les conversations et les situations difficiles lorsque cela est nécessaire. Comportement à ne pas accepter dans un milieu de travail les comportements de harcèlement, qui ne devraient jamais être tolérés. les commentaires à caractère sexuel : des paroles vulgaires, salaces ou inappropriées sur l’apparence, la vie personnelle ou les préférences sexuelles de quelqu’un doivent être vite recadrées. L’agression verbale : les insultes, les moqueries, des menaces ou des joutes verbales répétées ne peuvent être tolérées. La discrimination : des actions ou des commentaires basés sur la race, l’âge, la religion, l’orientation sexuelle ou le genre sont désobligeants et insultants. Le comportement agressif: quand il y a de l’agressivité dans sa relation aux autres, le lien devient intimidant et autoritaire. Se rajoutent souvent des critiques constantes, des ultimatums voire des menaces de licenciement… L’intimidation : les comportements qui visent à faire peur ou à contrôler une

Comment arrive-t-on à être récompensé pour proposer le meilleur environnement de travail au Canada ?

Meilleur endroit ou travailler au canada

Cette semaine, j’ai eu la chance de revoir un ami du temps de l’Université, Jean-Sylvain Sormany, aujourd’hui dirigeant et gagnant du prix du « meilleur environnement où travailler au Canada » en 2021, et également lauréat du prix du « meilleur patron en 2022 ». Je l’ai invité pour prendre des nouvelles mais aussi pour apprendre le secret de son succès. Je vais donc partager ici son point de vue et ses conseils. Sommaire On ne devient pas entrepreneur à succès du jour au lendemain. De quelle couleur est ton parachute ? Le trésor de son industrie Le saut dans l’entreprenariat Le secret pour proposer le meilleur environnement pour travailler En conclusion pour développer le meilleur environnement au travail On ne devient pas entrepreneur à succès du jour au lendemain. J’ai connu Jean-Sylvain malgré le fait qu’il ait suivi la filière « génie logiciel » et moi génie « physique » : mais comme nous aimions la musique, nous nous sommes rencontrés en co-dirigeant une chorale de l’école ! On faisait d’ailleurs une belle équipe car être « co-leader » nous aidait à partager la charge lorsqu’on avait d’autres engagements. Que de beaux souvenirs ! Vous comprendrez donc que Jean-Sylvain avait une sensibilité artistique ainsi qu’une capacité de leadership naturel. Malgré le fort désir, depuis sa jeunesse, de travailler dans le domaine des jeux vidéo, il a commencé sa carrière dans le domaine des technologies appliquées à la foresterie. Peu après, il perd son emploi car l’entreprise pour laquelle il travaillait avait perdu de l’intérêt aux yeux des consommateurs car elle ne répondait plus aux exigences du marché. De quelle couleur est ton parachute ? Jean-Sylvain a donc pris le temps de chercher un autre emploi. Et c’est grâce au livre — De quelle couleur est ton parachute ?, qu’il a réussi à revenir sur le droit chemin ! Ce livre demeure le plus populaire au monde en matière de stratégie de recherche d’emploi. Des millions de personnes ont pu bénéficier des informations et des conseils proposés afin de découvrir leur talent unique, leurs compétences et leurs intérêts. Grâce aux conseils du livre, Jean-Sylvain réalise qu’il doit absolument travailler dans une industrie plus créative, ce qu’il savait à l’intérieur de lui, mais qu’il n’avait pas suffisamment pris au sérieux : il réussit donc à se trouver un emploi dans l’industrie du jeu vidéo. Le trésor de son industrie Il est heureux et avance bien dans son travail. Cependant, il réalise que l’industrie a une mauvaise habitude, celle de « brûler » ses équipes avant la sortie des jeux. Et c’est un comportement qu’il avait beaucoup de difficulté à accepter, car il est évidemment possible de mettre en place de bonnes méthodes de travail pour sortir du mode « pompier ». Mais c’était tellement difficile qu’il a dépassé la ligne rouge et a dû quitter, à regret, son premier emploi dans le domaine des jeux vidéo et partir travailler pour un concurrent. Ces années d’expérience lui ont permis de trouver ensuite un emploi de directeur de la technologie pour une agence de publicité qui créait des produits interactifs. Il a réussi, là-bas, à monter une belle équipe dont la culture du respect était au premier rang. À partir des difficultés rencontrées dans l’industrie du jeu vidéo, il avait su réfléchir et tirer parti de la situation pour savoir mettre en place une équipe soudée. Malheureusement, la crise de 2008 a eu bon de l’entreprise de publicité et son équipe se retrouve sans emploi. Le saut dans l’entreprenariat Jean-Sylvain se retrouve encore au chômage mais cette fois-ci, c’est différent : son équipe et lui sont restés soudés et tous se sont lancés dans l’entrepreneuriat. La première étape consistait à prendre des contrats de service de programmation liés aux médias interactifs. Aujourd’hui, cette approche est standard, mais à l’époque, ils étaient tous des pionniers ! Quelques années passent et l’équipe, toujours désireuse de créer des jeux vidéo, décide d’investir de l’argent pour donner naissance, tous ensemble, à une société. Cette entreprise est donc née d’une équipe de gens qui avaient des désirs communs. Elle a grandi puis a atteint un plateau. Et un jour, un acheteur s’est manifesté : c’était un groupe de taille plus importante qui souhaitait investir. Le grand intérêt était que cet investisseur leur assurait de pouvoir garder leur propre mode de gestion et leur culture d’entreprise. Jean-Sylvain a accepté l’offre et depuis, l’entreprise et son équipe se sont développées puisqu’aujourd’hui, près de 200 personnes travaillent à l’intérieur de la société. Et celle-ci continue de croître ! Le secret pour proposer le meilleur environnement pour travailler Il y avait, tout d’abord, un désir commun de travailler dans le respect. Et le secret, c’est de mettre l’individu au cœur des décisions. La règle est simple : on prend le temps d’écouter tout le monde, même quand ils ne parlent pas !On doit faire preuve d’empathie et de gentillesse, mais au-delà, il faut également être en mesure de prendre des décisions pour améliorer les situations ou résoudre des problèmes. Voilà les consignes : Tout le monde a le droit de s’exprimer Tout le monde doit écouter ses collègues Tout le monde sera écouté au même niveau d’attention, que le problème ou l’idée soit petit ou grand Et si vous avez des idées différentes, ce n’est pas un souci. Il est recommandé de d’abord entendre l’idée du collègue avant de réagir pour trouver, peut-être, une nouvelle solution ou un chemin original. Cette façon de procéder permet d’arriver plus facilement à des idées nouvelles et encore plus riches !   Selon moi, cette approche du respect et de l’écoute amène plusieurs effets secondaires positifs : On n’a pas besoin de lever le ton pour se faire entendre. On sait que notre tour viendra et on n’a plus besoin de couper l’autre pour faire passer son point de vue. Les frustrations ne sont considérées que comme des opportunités d’amélioration. L’environnement de travail inspire la confiance. On ne parle pas mal de ses collègues puisque le respect en est le

Les meilleurs moyens d’obtenir une promotion !

Comment aller chercher une promotion ?

Vous êtes en poste depuis trop longtemps et vous commencez à tourner en rond. Vous avez constaté que l’on a proposé à des membres de votre équipe de nouvelles fonctions ou encore, que votre collègue vient d’avoir le poste que vous auriez souhaité. Ou tout simplement, vous appréciez le changement et les défis, et vous adorez apprendre de nouvelles choses ! Dans ce cas, il est temps de changer et d’obtenir une promotion ! Qu’est-ce qu’il promotion ?  Une petite précision pour commencer – tout d’abord, il est important de signaler qu’une promotion n’est pas toujours une évolution vers des postes hiérarchiques supérieurs. Une promotion peut être également une augmentation des responsabilités dans le poste que vous occupez actuellement. Par exemple, l’ingénieur qui était seul, auparavant, pour effectuer une tâche et qui aujourd’hui gère une petite équipe pour répondre à des demandes plus importantes peut considérer qu’il a reçu une promotion. Avec le temps, plus vous prenez de responsabilités et plus vous allez vous donner l’envie à vos supérieurs de vous confier des postes avec un périmètre d’action beaucoup plus large. Pour obtenir une promotion, il faut donc montrer que l’on a une forte motivation, mais aussi que l’on souhaite avoir plus de responsabilités et que l’on possède les compétences pour les gérer. Voyons maintenant en détail ce qui concerne les compétences… 1. Assurez-vous de toujours apprendre Pour avoir une promotion, il faut démontrer sa capacité à évoluer et donc, d’être en capacité d’apprendre en permanence. D’une certaine façon, développer ses connaissances est l’un des meilleurs moyens pour être capable de vivre avec une forme d’incertitude, car celle-ci devient de plus en plus importante à mesure que l’on prend de nouvelles responsabilités. Donnez-vous du temps pour développer vos « softkills » : ils seront toujours utiles pour l’ensemble des postes. Et c’est même très important pour votre poste actuel ! Rien de mieux que de lire des livres ou de suivre des formations. D’ailleurs, n’attendez pas tout de votre entreprise pour apprendre : investissez en vous par vous-même ! Petits conseils de lecture, voici 3 livres pour vous aider dans votre développement : Livres incontournables pour tout bons managers devraient connaître Une belle liste de livres pour stimuler le changement Liste des meilleurs livres pour apprendre à s’organiser efficacement 2. Intéressez-vous à la gestion de projet et des équipes Il est impossible de prendre plus de responsabilités et d’avoir une promotion si vous ne savez pas comment influencer et orienter une équipe. Que ce soit pour un poste en management ou avec plus de responsabilités techniques, il est nécessaire d’apprendre à gérer correctement les hommes et les femmes au sein de l’entreprise. Pour développer cette capacité, j’ai écrit cet article : organisez votre plan de carrière 3. Regarder les postes sur le marché Prenez le temps de lire les descriptions des postes que vous aimeriez avoir. Identifiez les compétences qu’il y a sur la liste et que vous ne possédez pas encore : assurez-vous de les développer le plus rapidement possible. Ensuite, regardez aussi les descriptions de postes à l’intérieur de votre entreprise : voyez s’il y a des propositions qui vous intéressent et le type de compétences que l’on demande. C’est un bon moyen d’identifier ce que vous devez faire pour obtenir une promotion. Développer son réseau 4. Assurez-vous de toujours communiquer Ensuite, si vous apprenez de nouvelles choses et que vous obtenez de belles réussites, il est important de le faire savoir. Monter en compétence est très appréciable, mais si personne n’est au courant, vos collègues et vos supérieurs ne pourront pas penser à vous lorsqu’il y aura des possibilités de progression dans l’entreprise ! J’aime bien dire que les promotions sont un peu comme lorsqu’on essaie de vendre une maison : il est mieux d’avoir des meubles à l’intérieur pour permettre à l’acheteur éventuel de se projeter. Pour les promotions, c’est la même chose : il faut permettre aux personnes qui peuvent vous confier de nouvelles responsabilités qu’elles aient perçues vos capacités avant de pouvoir les officialiser avec un nouveau poste. 5. Offrez votre aide Pour augmenter son niveau de responsabilité, il est important de faire des choses différentes par rapport à aujourd’hui. Vous pouvez, par exemple, aider quelqu’un qui réalise déjà quelque chose qui vous intéresse, car en même temps, vous pourrez apprendre de cette personne. Tout apprentissage est bon ! Développer votre posture 6. Travaillez votre attitude positive On promeut rarement les agents perturbateurs au sein des équipes. Si vous avez maintenant la capacité de voir ce qui ne va pas, apprenez à présenter les défauts et les défis comme des pistes d’amélioration. Vous ferez ainsi la différence ! 7. Lisez le livre – The start up of me Ce livre va changer votre état d’esprit sur la gestion de votre carrière. Cet ouvrage donne beaucoup d’astuces pour prendre en main sa progression de carrière et pas  uniquement à l’intérieur de son entreprise. Il vous propose de considérer votre carrière, vos capacités comme si c’était votre propre entreprise. D’où le nom du livre : The start up of me ! 8. Quand demander ou savoir que ce n’est pas le bon moment… Demander une promotion n’est pas forcément une chose évidente. Je vous propose donc de ne jamais demander, car ce n’est pas la bonne approche selon moi. Le mieux est d’indiquer votre intérêt pour un type de poste et de demander ce qui devrait être ajouté à l’ensemble de vos compétences pour obtenir le poste. Cette approche est indirecte mais elle a un effet beaucoup plus positif, car vous envoyez le signal de votre intérêt tout en indiquant que vous avez envie d’apprendre. Il n’y a rien de pire que de montrer trop de confiance, surtout si votre supérieur n’a pas la même compréhension des besoins du poste que vous. Et malheureusement, c’est souvent le cas ! Soyez clair sur vos envies 9. Partagez vos intérêts Dès que vous sentez que cela est possible, partagez avec les personnes en position d’autorité ce que vous

Comment trouver suffisamment de temps pour développer son leadership ?

Développer son leadership

En tant que manager, effectuer seulement votre travail et répondre aux demandes n’est pas suffisant pour développer votre leadership. Car le leadership est une véritable compétence qui nécessite du temps et de l’investissement pour se développer. Et je sais que ce temps est peut-être difficile à trouver car très souvent, on passe d’une urgence à une autre, sans avoir le temps de « souffler ». Pourtant, il est essentiel que vous deveniez un modèle pour votre équipe ! D’abord en matière de leadership, mais ensuite, pour être un exemple en ce qui concerne le développement personnel. Dans cet article, nous allons justement voir comment se créer des opportunités réelles pour augmenter sa maîtrise du leadership ! 1. La collecte d’information Tout d’abord, commencez par examiner toutes les données ou les commentaires dont vous disposez, comme les évaluations de performances ou les résultats d’une enquête récente à 360°. Pendant vos rencontres en face à face, essayez d’obtenir un feedback déguisé. Il n’est jamais facile, pour un collaborateur, de dire à son patron ce qui ne va pas ou ce qu’il pense de lui. Posez alors des questions telles que : Est-ce que je suis clair lorsque je délègue des responsabilités ? Est-ce que les objectifs et la direction de l’équipe sont suffisamment développés pour t’aider à prendre des décisions et effectuer ton travail ? Est-ce qu’il y a des processus ou des éléments irritants dans ton travail ? Comment se passe la collaboration avec les autres équipes ? Est-ce que les réunions régulières sont utiles ? Quel genre d’information y retrouves-tu ? Que pourrait-on améliorer dans le fonctionnement de l’équipe ? … Il est nécessaire de poser des questions qui stimulent la conversation de façon positive. Personne n’aime donner un feedback négatif à son patron, même si la relation est agréable et n’est pas basée sur des éléments personnels. Vous obtiendrez alors plusieurs informations intéressantes pour identifier des pistes de développement  qui vous aideront, vous ET votre équipe. Avoir ce double but en tête vous aidera à inclure votre développement dans vos objectifs professionnels ! 2. Identifiez les qualités de leader que vous aimeriez améliorer Identifiez une ou deux compétences spécifiques que vous souhaiteriez améliorer. Pour vous aider, voici une fiche d’évaluation : Modèle d’évaluation de votre leadership Peut-être voulez-vous : Devenir un orateur inspirant et motivant ? Améliorer votre courage managérial et votre capacité à affirmer vos choix ? Savoir tirer intérêt d’une situation de statu quo ? Partager vos commentaires de façon plus efficace ? Développer votre capacité à planifier et à faire des plans stratégiques ? Définir des budgets plus précis et les suivre pour augmenter le profit global ? Et je vous ai créé un questionnaire pour vous aider à identifier votre style de gestion. Comprendre son style de gestion vous aidera à identifier comment vous adapter avec les autres de votre équipe. 3. Trouvez des pistes et des outils de développement Parlez-en autour de vous : un leader qui présente à son équipe ses propres éléments de développement augmente la capacité de dépassement de son équipe. Parlez-en également à vos mentors car ils ont peut-être des livres à vous proposer. Si vous n’avez pas de « mentor » ou de personne « ressource », cherchez-en vite une ! Mon livre « Le manager est un voyageur du temps » est aussi une bonne source de développement pour les managers. Et je complète ce propos par une liste des livres que tout bon manager devrait lire.   Cherchez des formations en ligne et demandez à votre responsable des ressources humaines si des documents exploitables existent déjà. Enfin, cherchez l’inspiration auprès des dirigeants que vous respectez et contactez-les, si vous le pouvez, afin d’obtenir des conseils précieux. 4. Planifier Quel que soit votre objectif, soyez réaliste dans votre plan d’action. Réservez simplement un peu de temps toutes les semaines pour travailler à votre leadership. Vous pouvez vous dire que chaque lundi matin, avant de commencer la semaine et de répondre aux urgences, vous gardez 20 minutes pour travailler sur votre développement personnel. Vous pouvez aussi investir 5 minutes tous les jours, juste avant d’aller déjeuner. Le plus important est d’avoir toujours quelque chose à faire ! Pendant votre formation, notez les principaux points à retenir et les idées sur la façon de les mettre en œuvre. Passez ensuite à la pratique le plus rapidement possible. Mais comme toujours, commencez avec des actions faciles à mettre en œuvre. Personnellement, quand j’apprends une nouvelle méthode, j’aime le dire à mon équipe et leur demander de l’essayer avec moi. Rien de mieux pour apprendre que de l’enseigner aux autres ! Et il n’y a pas besoin que ce soit parfait du premier coup : personne ne vous en tiendra rigueur ! Il faut y aller étape par étape. 5. La discipline Revisitez vos objectifs de développement personnel régulièrement et vérifiez si vous avez amélioré la situation. Sinon, il faut changer de stratégie ! BONUS – Pour vous lancer rapidement Si vous voulez vous lancer dès maintenant mais que vous ne savez pas comment commencer, je vous propose les actions suivantes : Lire cet article « évaluation de mes compétences managériales ». Lire un livre par mois – voir la liste ici. Si vous souhaitez connaître et approfondir un livre et que vous ne trouvez pas le temps, écoutez-le sous forme de podcast. Refaites votre évaluation personnelle très régulièrement pour évaluer vos progrès. Après avoir lu ces livres, vous verrez plus précisément où vous voulez continuer votre développement. Questions spécifiques Si vous avez des questions précises sur un sujet en particulier, laissez-les-moi en commentaire. J’aurais peut-être une suggestion d’article, une formation, un livre ou un coach à vous proposer. Amusez-vous bien car apprendre est clairement un des piliers du bonheur et donne toujours une belle énergie pour affronter la vie ! Photo de Miquel Parera sur Unsplash